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Le Venezuela dénonce une cyber-attaque contre sa principale centrale électrique comme étant à l’origine de la panne, dans ce qui serait un gigantesque attentat contre le pays. Une telle cyber-attaque ne serait pas une première : on se souvient que les USA avec Israël avaient lancé une telle attaque contre des équipements nucléaires en 2015 en Iran.

La production électrique au Venezuela repose à 70% sur la centrale hydro- électrique de El Guri, d’une puissance de 10 200 MW avec 20 turbines installées sur l’Orénoque. A lui seul, ce barrage produit presque autant que 10 centrales nucléaires en France. C’est le 4e plus grand barrage du monde.

C’est la panne du système de cette centrale hydroélectrique qui a privé le Venezuela de courant pendant de très longues heures.

Pour le journal de Montréal : une attaque américaine possible

Pour Jeff Middleton, responsable en chef de la technologie de la société TheVault, spécialisée en protection des données et cryptage des transactions financières, il est relativement aisé d’attaquer une installation de ce type en injectant «un virus», ce que peut parfaitement faire selon lui «un acteur étatique».  

En décembre 2016, une cyberattaque en Ukraine, probablement au moyen d’un virus, avait privé d’électricité pendant plus d’une heure une partie de Kiev, la capitale.  

«Pour attaquer le réseau d’une centrale, il faut attaquer le système qui la fait fonctionner. Par exemple en essayant de le surcharger en contournant l’une des fonctions de sécurité censées empêcher ce genre de problème», explique à l’AFP Jeff Middleton. 

Par exemple, poursuit-il, le virus «stuxnet» est soupçonné d’avoir endommagé près d’un cinquième du programme nucléaire iranien en 2010.   

«Il suffit de trouver un moyen d’injecter un virus dans les ordinateurs qui contrôlent n’importe quel système industriel: vous le forcez à la surcharge et le mettez dans un tel état, qu’il est impossible de l’éteindre manuellement.»  

«La Russie avait fait quelque chose de similaire lors de l’attaque en Ukraine. Le virus utilisé avait ensuite migré et attaqué les systèmes [des transporteurs internationaux] Maersk et FedEx, leur causant des centaines de millions de dollars de dégâts.» 

Sources le journal de Montréal

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